Introduction :
Dans un contexte où les outils génératifs (notamment l’IA) deviennent accessibles à tous, la question de la légitimité créative revient sans cesse.
Peut-on encore parler de mérite, d’authenticité ou de triche quand une image est simplement… réussie ?
Voici une position directe, ancrée dans le réel, face aux injonctions morales autour de la création assistée.
«Une belle image est une belle image. Point.»
Qu’elle soit produite par un photographe, une IA ou un graphiste, peu importe, tant que le résultat est juste, puissant et adapté à son usage.
Tout le monde ne peut s’offrir des services professionnels coûteux.
L’IA représente une démocratisation de l’accès à la création visuelle, à l’écriture assistée, à la musique générative, etc…, à l’instar de ce que fut l’imprimerie ou le smartphone : c’est un bouleversement techno-culturel, pas une trahison.
Si on a les moyens de faire appel à des humains, faisons-le. Dans le cas contraire, nul ne doit être fustigé d’utiliser les outils à sa disposition.
Faire des efforts là où c’est possible, oui, d’accord.
Imposer des injonctions morales irréalistes, non merci.
À tous les bienpensants bienfaisants à géométrie variable : calmez vos ardeurs. Le progrès ne vous a jamais attendu.
Je ne donne aucune leçon à qui que ce soit, mais je refuse qu’on m’en donne.
Je fais avec ce que j’ai. Et je le fais du mieux que je peux.
N’y voyez pas une excuse : c’est un positionnement idéologique.
L’approbation m’est bien égale.
Je décris simplement ce que c’est de créer avec des idées fortes et un pouvoir d’achat faible. Qu’il s’agisse d’idéation, de réalisation, de conceptualisation ou d’exécution.
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